Elle se refuse toujours à comprendre, à entendre,
Elle rit pour cacher sa terreur d'elle-même.
Elle a toujours marché sous les arches des nuits
Et partout où elle a passé
Elle a laissé
L'empreinte des choses brisées.
Elle rit pour cacher sa terreur d'elle-même.
Elle a toujours marché sous les arches des nuits
Et partout où elle a passé
Elle a laissé
L'empreinte des choses brisées.
Paul Eluard, Capitale de la Douleur
J'ai beaucoup de mal avec la poésie. Mais ce poème-là me touche. Des échos, peut-être. Peut-être pas.
Je poste beaucoup dans Crépuscules, ces temps-ci. Réflexions, ressentis...