Samedi 8 mai 2010 à 19:09

Elle se refuse toujours à comprendre, à entendre,
Elle rit pour cacher sa terreur d'elle-même.
Elle a toujours marché sous les arches des nuits
Et partout où elle a passé
Elle a laissé
L'empreinte des choses brisées.

Paul Eluard, Capitale de la Douleur
 

J'ai beaucoup
de mal avec la poésie. Mais ce poème-là me touche. Des échos, peut-être. Peut-être pas.

Je poste beaucoup dans Crépuscules, ces temps-ci. Réflexions, ressentis...

Par Jellyka le Samedi 8 mai 2010 à 19:22
Je ne connaissais pas ce poème de Paul Eluard... Même si j'aime énormément la poésie. Celui-ci, est vraiment splendide, et me fait penser à une étape que j'ai eu dans ma vie.
Par Un-sourire-suffit le Samedi 8 mai 2010 à 20:35
Paul Eluard, un grand, n'est-ce pas. Moi, en ce moment, je suis plus: Baudelaire. Classique mais envoûtant. Celui la, je ne le connaissais pas non plus, et par sa brieveté il captive. Merci. :)
Par Satine le Dimanche 9 mai 2010 à 16:55
oh Eluard, l'un de mes nombreux amants. magnifique.
Par May* le Lundi 10 mai 2010 à 15:05
Eluard est un magicien.
 

Ajouter un coquelicot.









Commentaire :








Votre adresse IP sera enregistrée pour des raisons de sécurité.
 

La discussion continue ailleurs...

Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://mademoiselle-coquelicot.cowblog.fr/trackback/2994349

 

<< Coquelicots précédents | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | Coquelicots suivants >>

Créer un podcast