Je voulais écrire hier soir, parce que j'ai relu une bonne partie de mon blog, mais il était cinq heures du matin alors je suis allée me coucher. Beaucoup de choses ont changé. Rien n'a changé. Je ne sais pas, un peu tout ça à la fois. Il y a toujours beaucoup de peurs et de doutes mais il y a aussi le réconfort et l'amour. Un peu plus de positif qu'avant.
Je suis toujours perdue. Je ne sais pas ce que je veux faire "plus tard". J'ai l'impression que "plus tard", c'est maintenant.
Je rentre d'un concert : Christine and the Queens, Applause, Ladylike Lily. Christine and the Queens est totalement "freaky", Applause a un chanteur à la mèche crispante et Ladylike Lily est toujours magique. L'album en avant-première, qui est dans mes oreilles, là, tout de suite. On a parlé, du concert, de mon stage, de choses et d'autres. C'était bizarre. C'était chouette. Je me suis sentie stupide. Je ne sais pas ce que je veux. Plus tard. Il y a ce stage que je dois trouver, mais j'en ai assez de chercher. Et après ? Ça ne collera pas. Ce n'est pas un milieu pour moi. Je crois. J'ai pensé à être correctrice. Mais il y a si peu de débouchés. Encore moins que dans la production musicale, si c'est possible.
J'ai envie de faire quelque chose de nouveau en musique. De plus poussé, de différent. Mais je ne sais pas. Je ne sais pas par où commencer. Je ne vais pas, je ne peux pas "renier" Mademoiselle Cerise. Mais le fruit finira par être périmé. Je ne pourrai plus m'appeler "Mademoiselle Cerise" à 40 ans. Oui, réflexion stupide, mais il est 3h24 du matin. Je suis triste, et cet album n'arrange rien. Il faut que je travaille. Mes chansons, ma voix, mes instruments, tout. Je ne sais pas où je vais. Je ne sais pas. Pour l'instant, je n'y vais pas toute seule, c'est un peu rassurant. Mais ça ne règle rien.
Metz est jolie. Metz est petite. Metz se vide. Je ne sais plus où je veux être. Les cours sont terminés, j'erre, en attendant. Et après ? Le flou, le vide, total. Tous mes mots ici sont tristes, sont gris, alors que ça ne va pas si mal, mais ça reste encore un refuge, parfois. Et quoi ? Les "artistes", les "créatifs" seront-ils toujours en proie au doute ?
Je me cherche encore. Je vous ferai signe lorsque je me serai trouvée. Peut-être. Lâcher prise.
Je suis toujours perdue. Je ne sais pas ce que je veux faire "plus tard". J'ai l'impression que "plus tard", c'est maintenant.
Je rentre d'un concert : Christine and the Queens, Applause, Ladylike Lily. Christine and the Queens est totalement "freaky", Applause a un chanteur à la mèche crispante et Ladylike Lily est toujours magique. L'album en avant-première, qui est dans mes oreilles, là, tout de suite. On a parlé, du concert, de mon stage, de choses et d'autres. C'était bizarre. C'était chouette. Je me suis sentie stupide. Je ne sais pas ce que je veux. Plus tard. Il y a ce stage que je dois trouver, mais j'en ai assez de chercher. Et après ? Ça ne collera pas. Ce n'est pas un milieu pour moi. Je crois. J'ai pensé à être correctrice. Mais il y a si peu de débouchés. Encore moins que dans la production musicale, si c'est possible.
J'ai envie de faire quelque chose de nouveau en musique. De plus poussé, de différent. Mais je ne sais pas. Je ne sais pas par où commencer. Je ne vais pas, je ne peux pas "renier" Mademoiselle Cerise. Mais le fruit finira par être périmé. Je ne pourrai plus m'appeler "Mademoiselle Cerise" à 40 ans. Oui, réflexion stupide, mais il est 3h24 du matin. Je suis triste, et cet album n'arrange rien. Il faut que je travaille. Mes chansons, ma voix, mes instruments, tout. Je ne sais pas où je vais. Je ne sais pas. Pour l'instant, je n'y vais pas toute seule, c'est un peu rassurant. Mais ça ne règle rien.
Metz est jolie. Metz est petite. Metz se vide. Je ne sais plus où je veux être. Les cours sont terminés, j'erre, en attendant. Et après ? Le flou, le vide, total. Tous mes mots ici sont tristes, sont gris, alors que ça ne va pas si mal, mais ça reste encore un refuge, parfois. Et quoi ? Les "artistes", les "créatifs" seront-ils toujours en proie au doute ?
Je me cherche encore. Je vous ferai signe lorsque je me serai trouvée. Peut-être. Lâcher prise.