Si vous saviez comme je me couche tard. Et donc, malgré mes deux jours de congés, je suis fatiguée. 3h30-11h. 4h-9h. Des petites nuits. Ce soir, je me couche tôt. J'ai vu The Reader. Beau film mais... trop américain. Trop de musique, des incohérences (des livres écrits en anglais alors que l'histoire se passe en Allemagne), je pense que l'histoire aurait gagné à être tournée par un réalisateur allemand, qui en aurait fait quelque chose de moins grandiose, et de plus proche de nous. C'est néanmoins un beau récit, et on ne peut que saluer la performance des acteurs.
J'ai eu la confirmation pour Nantes, ma demande de transfert est acceptée ! Seul petit souci, cette très chère administration a précisé Formation : L1 Lettres Modernes, alors que ma L1 est bel et bien validée... Ce qui signifie que je vais devoir passer des coups de téléphone... ou peut-être attendre la rentrée, et corriger ça à l'inscription.
Dans le noir, la nuit, le soir, je pense à tout ce que je pourrais écrire, et lorsque je me retrouve à taper, les mots ne viennent pas. Je l'ai déjà dit, je crois.
J'ai acheté six livres, j'en ai eu un, gratuit. L'Elegance du Hérisson (Muriel Barbery) pour le relire et le prêter, L'Ecume des Jours (de Boris Vian) parce que je n'ai jamais lu ses oeuvres, Puisque rien ne dure (Laurence Tardieu) à cause du sujet qui me touche, Le Magasin des Suicides (Jean Teulé) parce qu'on me l'a conseillé et que j'ai envie de rire, La Solitude des Nombres Premiers (Paolo Giordano) que j'ai voulu dès que j'ai lu le titre puis la quatrième de couverture et je crois que c'est le genre de livre que j'aimerais écrire, et Comment se faire des amis (Dale Carnegie), un livre de développement personnel (ne riez pas !) dont on m'a parlé et qu'il faut lire progressivement (et puis bon, cinq euros seulement, je ne risque pas grand-chose). Le septième, offert, est un livre de Tatiana de Rosnay, Le Coeur d'une autre. J'aime acheter des livres. Je l'ai déjà écrit me semble-t-il, il y en a encore un certain nombre qui attendent d'être lus, sur mes étagères. Je ressors rarement d'une librairie les mains vides, même si je sais que le temps me manquera, mais j'aime posséder des livres. Pour les partager ensuite, et m'y plonger, comme dans un voyage, sans savoir ce que les mots me réserveront. Déception, émerveillement ?...
Je ne parlerai pas plus de moi. Elle (toujours) est maintenant avec un garçon. Tant mieux pour elle, en réalité ça m'est presque égal.
J'ai eu la confirmation pour Nantes, ma demande de transfert est acceptée ! Seul petit souci, cette très chère administration a précisé Formation : L1 Lettres Modernes, alors que ma L1 est bel et bien validée... Ce qui signifie que je vais devoir passer des coups de téléphone... ou peut-être attendre la rentrée, et corriger ça à l'inscription.
Dans le noir, la nuit, le soir, je pense à tout ce que je pourrais écrire, et lorsque je me retrouve à taper, les mots ne viennent pas. Je l'ai déjà dit, je crois.
J'ai acheté six livres, j'en ai eu un, gratuit. L'Elegance du Hérisson (Muriel Barbery) pour le relire et le prêter, L'Ecume des Jours (de Boris Vian) parce que je n'ai jamais lu ses oeuvres, Puisque rien ne dure (Laurence Tardieu) à cause du sujet qui me touche, Le Magasin des Suicides (Jean Teulé) parce qu'on me l'a conseillé et que j'ai envie de rire, La Solitude des Nombres Premiers (Paolo Giordano) que j'ai voulu dès que j'ai lu le titre puis la quatrième de couverture et je crois que c'est le genre de livre que j'aimerais écrire, et Comment se faire des amis (Dale Carnegie), un livre de développement personnel (ne riez pas !) dont on m'a parlé et qu'il faut lire progressivement (et puis bon, cinq euros seulement, je ne risque pas grand-chose). Le septième, offert, est un livre de Tatiana de Rosnay, Le Coeur d'une autre. J'aime acheter des livres. Je l'ai déjà écrit me semble-t-il, il y en a encore un certain nombre qui attendent d'être lus, sur mes étagères. Je ressors rarement d'une librairie les mains vides, même si je sais que le temps me manquera, mais j'aime posséder des livres. Pour les partager ensuite, et m'y plonger, comme dans un voyage, sans savoir ce que les mots me réserveront. Déception, émerveillement ?...
Je ne parlerai pas plus de moi. Elle (toujours) est maintenant avec un garçon. Tant mieux pour elle, en réalité ça m'est presque égal.
Ah oui et. La photo est tellement douce, ou plutôt la photo est jolie et c'est toi qui fais toute douce dessus, j'aime bien ce jaune, tes paupières et le dessin de tes cils, c'est très épuré, beau.
Bonne nuit, les miennes aussi ne commencent pas très tôt :) (3h ..)