Je suis seule. Je vous l'ai déjà dit. Mais seule à la maison. Pendant deux semaines. Et ça fait du bien, en vrai. Mes parents ne m'ont pas laissé un seul sou, mais le congel' est plein, et j'irai faire quelques courses demain. Ils ont embarqué le Nutella, et j'ai envie de confiture de framboise (on se demande d'où ça vient).
Samedi, il y a eu une énorme panne informatique. Les passages en caisse duraient trois fois plus longtemps que la normale. Je suis tombée amoureuse, le temps d'une cliente que je ne reverrai jamais, mais tant pis. Lorsque tous les clients sont partis, j'ai explosé de rire, à cause des nerfs, de la pression. Je ne pouvais plus m'arrêter. Le soir, je rentre à presque vingt-et-une heure. Je vais donner à manger aux chats des voisins, m'attarde un peu, souvent, et je nourris mon chat. Puis je me fais à manger. C'est passionnant. Je me suis affalée devant la télé aujourd'hui. Ça m'arrive rarement. Parce qu'habituellement, j'ai tendance à immédiatement monter dans ma chambre. Il semblerait que je fuis la compagnie, mes parents, ma sœur et son dernier copain qui passe la moitié de la semaine à la maison (et la nuit dans la chambre de ma sœur, à côté de la mienne...). Je ne suis pas certaine que mon écran d'ordinateur me comprenne mieux qu'eux, mais au moins je n'ai pas à faire bonne figure devant lui. Et puis aujourd'hui, aussi, une fille est passée à ma caisse. Elle avait des cheveux presque blancs, un piercing au menton et des Doc turquoise. Sa mère a payé en chèque. Alors je l'ai retrouvée sur Facebook, et lui ai envoyé un message... Oui, c'est bête, et ça me fait rire. Et je viens de me rendre compte que pas mal de ses amis connaissent des gens que je connais. Merci Facebook. C'est tout de même effrayant. Bref. D'ailleurs, Juliette, tu es amie avec quelqu'un qui est ami avec elle... Ow, le monde il est tout petit petit.
A part ça, j'ai pas mal sympathisé avec l'ancienne coloc de vous-savez-qui (non, ce n'est pas un remix de Harry Potter, et d'ailleurs, en parlant d'elle, elle n'est plus avec le garçon cité deux ou trois articles plus tôt) ; une fille que je n'ai jamais rencontrée m'a dit que je l'attirais, lui plaisais mais que comme sa copine venait de la quitter, elle ne voulait que mon amitié. D'ailleurs, cette fille est amie avec plein d'amis de la fille dont je parlais ci-dessus, celle aux chaussures bleues (au moins une quinzaine de personnes !). Et sinon, je fais la connaissance de plusieurs demoiselles, par mail, rencontrées via un site dérivé de Meetic. Voilà, vous savez tout.
Il faut que je vous dise. Merci. Sincèrement, vraiment. De continuer à passer, à me lire, à m'écrire, me laisser des petits mots, vous intéresser à moi. Merci pour vos compliments sur ma dernière Reprise, que je trouvais si plate (et je vous assure que ce n'est pas de la fausse modestie). Si vous saviez comme tout ça me touche, merci...
La bonne nouvelle, c'est que j'ai enfin terminé le bouquin que je lisais depuis plusieurs semaines. On va enfin pouvoir dévorer quelque chose d'intéressant. Et sinon, j'ai reçu une presque demande en mariage (du garçon adorable dont je parlais il y a quelques temps, et qui commence à sérieusement m'agacer, à toujours danser en me voyant, et qui a fredonné pendant au moins cinq minutes la même chanson, pendant qu'on faisait notre caisse) : J'aurais demandé en contrepartie des épousailles en bonne et due forme dans les jardins du Thabor avec une vraie robe de mariée... Je me serais bien marré, peut être pas Toi... :)
J'ai oublié de vous dire que j'ai une nouvelle collègue absolument géniale, qui m'appelle de sa caisse pour me dire bonjour, me fait des bisous avant de partir, et me demande : "ça va cocotte ?" avec un grand sourire. Ça fait du bien. (:
Sur ce, je file au lit, retrouver mes bouquins (mais lequel ? Ah ah, je n'ai que l'embarras du choix !), et vous dit z'a très bientôt.
Samedi, il y a eu une énorme panne informatique. Les passages en caisse duraient trois fois plus longtemps que la normale. Je suis tombée amoureuse, le temps d'une cliente que je ne reverrai jamais, mais tant pis. Lorsque tous les clients sont partis, j'ai explosé de rire, à cause des nerfs, de la pression. Je ne pouvais plus m'arrêter. Le soir, je rentre à presque vingt-et-une heure. Je vais donner à manger aux chats des voisins, m'attarde un peu, souvent, et je nourris mon chat. Puis je me fais à manger. C'est passionnant. Je me suis affalée devant la télé aujourd'hui. Ça m'arrive rarement. Parce qu'habituellement, j'ai tendance à immédiatement monter dans ma chambre. Il semblerait que je fuis la compagnie, mes parents, ma sœur et son dernier copain qui passe la moitié de la semaine à la maison (et la nuit dans la chambre de ma sœur, à côté de la mienne...). Je ne suis pas certaine que mon écran d'ordinateur me comprenne mieux qu'eux, mais au moins je n'ai pas à faire bonne figure devant lui. Et puis aujourd'hui, aussi, une fille est passée à ma caisse. Elle avait des cheveux presque blancs, un piercing au menton et des Doc turquoise. Sa mère a payé en chèque. Alors je l'ai retrouvée sur Facebook, et lui ai envoyé un message... Oui, c'est bête, et ça me fait rire. Et je viens de me rendre compte que pas mal de ses amis connaissent des gens que je connais. Merci Facebook. C'est tout de même effrayant. Bref. D'ailleurs, Juliette, tu es amie avec quelqu'un qui est ami avec elle... Ow, le monde il est tout petit petit.
A part ça, j'ai pas mal sympathisé avec l'ancienne coloc de vous-savez-qui (non, ce n'est pas un remix de Harry Potter, et d'ailleurs, en parlant d'elle, elle n'est plus avec le garçon cité deux ou trois articles plus tôt) ; une fille que je n'ai jamais rencontrée m'a dit que je l'attirais, lui plaisais mais que comme sa copine venait de la quitter, elle ne voulait que mon amitié. D'ailleurs, cette fille est amie avec plein d'amis de la fille dont je parlais ci-dessus, celle aux chaussures bleues (au moins une quinzaine de personnes !). Et sinon, je fais la connaissance de plusieurs demoiselles, par mail, rencontrées via un site dérivé de Meetic. Voilà, vous savez tout.
Il faut que je vous dise. Merci. Sincèrement, vraiment. De continuer à passer, à me lire, à m'écrire, me laisser des petits mots, vous intéresser à moi. Merci pour vos compliments sur ma dernière Reprise, que je trouvais si plate (et je vous assure que ce n'est pas de la fausse modestie). Si vous saviez comme tout ça me touche, merci...
La bonne nouvelle, c'est que j'ai enfin terminé le bouquin que je lisais depuis plusieurs semaines. On va enfin pouvoir dévorer quelque chose d'intéressant. Et sinon, j'ai reçu une presque demande en mariage (du garçon adorable dont je parlais il y a quelques temps, et qui commence à sérieusement m'agacer, à toujours danser en me voyant, et qui a fredonné pendant au moins cinq minutes la même chanson, pendant qu'on faisait notre caisse) : J'aurais demandé en contrepartie des épousailles en bonne et due forme dans les jardins du Thabor avec une vraie robe de mariée... Je me serais bien marré, peut être pas Toi... :)
J'ai oublié de vous dire que j'ai une nouvelle collègue absolument géniale, qui m'appelle de sa caisse pour me dire bonjour, me fait des bisous avant de partir, et me demande : "ça va cocotte ?" avec un grand sourire. Ça fait du bien. (:
Sur ce, je file au lit, retrouver mes bouquins (mais lequel ? Ah ah, je n'ai que l'embarras du choix !), et vous dit z'a très bientôt.
[Je vous présente Carambar, le chat des voisins.]
Juste un petit mot pour te dire que je fais toujours régulièrement escale dans ce lieu de perdition qu'est ton blog. Et quoi que tu en dises, tu es toujours raffraichissante à lire !
Encore quelques jours à patienter entre clients mécontents et rencontres fortuites et l'on pourra enfin se revoir (enfin tu pourras LA revoir !).
Mille Bises du Sud,
TdB und mädchen